C'est tout de même bizarre cette dissolution, les réactions suivant la rédaction de votre premier numéro étaient tout de même positives. De mon point de vue, le mail reçu par l'historique tutrice du projet était très encourageant.
Difficile de succéder à l'équipe de la 2° année du projet (nous étions la 3° et vous la 4°). La barre avait réellement était fixée très haute. Les qualités rédactionnelles de chacuns ne sont certes pas celles de professionnels, mais dans un projet, n'est-ce pas l'envie et l'engagement qui compte ? Les enseignements à la sortie d'un tel projets sont très enrichissants et valent certainement plus qu'un sujet bâteau traité en 2 semaines.
La Presse GC, comme le canoe-béton ou l'amicale, est un projet qui demande bien plus d'engagement qu'un de ces autres projets. S'il suffisait juste de se rencontrer les jeudis après-midi avec le reste de l'équipe pour sortir un journal, ça se saurait. Mais malheureusement il ne faut pas oublier que certains impératifs scolaires sont bel et bien présents.
Non, je ne dis pas que l'on devrait les applaudir juste pour leur engagement. Mais il faut bien comprendre que chacun fait avec ses moyens/qualités. Personne n'a reçu en cours de français les enseignements propres à la rédaction d'un journal. Beaucoup reste à apprendre.
Si la tutrice du projet souhaitait une équipe de bons éléments, il faudrait organiser un recrutement ou simplement proposer aux éléments préssentis la prise en main d'un tel projet.
En tout cas, je tient à féliciter l'équipe avortée de la PGC car c'est la seule qui se soit montrée intéressée par le projet. Je pense que certaines personnes (déjà citées dans mes propos) n'en ont pas conscience.
Par ailleurs, je pense que c'est la mort du projet. Les primos ne vont pas être sensibilisés à la Presse tout au long de l'année. Dur de trouver 3 personnes intéressées dans ces conditions quand il est déjà dur de former une équipe en temps normal.